Publié par : Rigpa Chatellerault-Tours | mars 11, 2009

AVEC UN E-BOOK ON PEUT…

boom_digilibro_medCECI est une CONTRE LISTE : on pourra trouver ici et des listes (en fait, celles que je vous propose – en espagnol – sont les mêmes – par contre la photo n’est pas la même) ou encore par ici de ce que l’on ne peut pas faire avec un e-book, mais voilà mes plus proches collaboratrices ont émis des idées somme toute interressantes. En tout cas : on en parle ! Et sur ce blog public et moins perso j’ai mis une photo plus classique…

  • Un e-book ne moisit pas.
  • Un bébé ne peut pas avaler des petits bouts d’e-book et s’étouffer
  • On peut aussi écouter de la musique avec un E-Book mais on peut aussi s’asseoir dessus.
  • On ne sait pas comment on le récupérera, mais on peut toujours le faire ! pas besoin de couvrir un e-book. Ni de l’estampiller, d’ailleurs!
  • On peut faire des jeux de mots idiots avec un e-book:
  •  un e-book éteint deviendra vite un i-bouquetin…
  • Ca sent le book !
  • Même que les revendeurs d’occasion de e-book seront des e-bookenistes. (avec ou sans odeur d’ailleurs… )
  • Quand un e-book est éteint, avec la réverbération dans l’écran, on peut s’en servir pour se recoiffer et se remaquiller.
  • On peut insulter son e-book quand il ne fonctionne pas: « Mais sale machine tu vas marcher oui!!??? » « 
  • Si on revend un e-book, on peut se payer un week-end à Paris ».
  • « On peut frimer avec un e-book ». On peut faire des taches de café, de gras sur un e-book.
  • Les pages d’un e-book mal relié ne s’envolent pas quand il y a du vent.
  • Y a pas besoin de couvrir un e-book.
  • On pourrait apprendre à lire avec un E-Book.  
  • On suit le texte en même temps qu’on écoute, depuis son e-book, l’enregistrement du livre-lu
  • On peut mettre « ff » (çà c’est pour les bibliothécaires et çà veut dire « fiche faite !) sur le e-book (mais pas sur chaque livre dedans…) Pareil pour l’estampille !
  • On peut s’en servir comme porte clé
  • on peut se faire des amis avec un e-books: tous les curieux qui regardent et disent « Oh, c’est quoi ça? Ah mais quand même ça remplace pas le bon vieux livre, hein… »
  • Retourné , ça peut faire un dessous-de-plat et en plus c’est design !
  • On peut l’accrocher dans les branches pour faire peur aux oiseaux
Publié par : Rigpa Chatellerault-Tours | mars 2, 2009

Retour sur la journée du 10 février

Le 10 février 2009, nous avons proposé à 23 bibliothèques une journée de formation / information sur les documents numériques. Retrouvez derrière le lien des ressources, résumés, comptes-rendus… Les photos avaient déjà été publiées dès le 10 février.

La journée a commencé par 3 ateliers portant sur les ressources numériques payantes mises à la disposition des bibliothèques du réseau en 2009:

  • Un atelier sur la bibliothèque en ligne Numilog. Ouverte à tous les lecteurs inscrits dans l’une des bibliothèques du réseau de la DDBL, cette bibliothèque en ligne propose une centaine de titres sur les thématiques Emploi / Formation, Vie pratique, Informatique. Les ouvrages empruntés sont chronodégradables: à partir du moment de leur emprunt, ils demeurent lisibles 3 semaines. Les questions posées lors de cet atelier, hormis les questions portant sur la stricte utilisation du service (comment « sécuriser » les prêts? comment réserver un document?), furent les suivantes: Comment obtenir des statistiques fines de prêt par Numilog, afin de savoir quelle bibliothèque est la plus active dans le prêt numérique? Cette question a été relayée auprès de Numilog, nous sommes en train de travailler ensemble pour affiner les statistiques proposées. Comment sont choisis les documents qui viendront enrichir cette bibliothèque numérique? La DDBL a l’intention de mettre en place un « comité d’acquéreurs » pour les documents numériques, auquel pourront participer des bibliothécaires du réseau. Ce comité se mettra en place dans les semaines qui viennent.
  • Un atelier sur la ressource Louvre.edu. Après une présentation générale de la navigation sur le site, les participants ont pu avoir un aperçu d’une animation réalisable avec ce site Internet, avec l’exemple d’une animation sur le thème du portrait. Retrouvez ici le Power Point de cette animation.
  • Un atelier sur les e-books achetés cette année par la DDBL (Modèle Sony PRS-505). L’objectif de cet atelier était de présenter le principe de fonctionnement d’un e-book (ou « livrel ») et de permettre aux participants une première prise en main. La plupart des questions ont porté sur la capacité de stockage du livrel, et les formats qu’il permet de lire. Il a été précisé que les documents disponibles dans la bibliothèque numérique Numilog pouvaient être chargés puis lus sur le livrel, et le principe du prêt chronodégradable a donc été rééxpliqué. Certains participants ont trouvé la manipulation des touches difficile, voire douloureuse. D’autres ont été déçus par la taille de l’écran et l’absence de couleur. Si une bibliothèque, emballée, a souhaité savoir où elle pouvait elle-même acheter l’appareil, une autre a été plus réticente face au prix, et se montre peu désireuse de prêter un appareil si cher à ses lecteurs qui, pour certains, sont très modestes. Les bibliothèques qui souhaiteront mettre un livrel à disposition de leurs lecteurs seront accompagnés par la DDBL, pour définir les modalités de prêt, pour « charger » le livrel avec un contenu choisi, pour faire connaître l’existence, l’utilité et les modalités d’utilisation de cet appareil. (Voir également ici ou deux retours d’expérience sur la manipulation de cet appareil).

La matinée s’est achevée par un retour d’expérience des bibliothèques qui ont offert l’année dernière des ressources numériques payantes à disposition de leurs lecteurs. Cet échange a confirmé la nécessité de consacrer du temps pour la mise en place d’un tel service et sa valorisation. Une ressource ne peut pas simplement être laissée dans un ordinateur (plus ou moins) à disposition du public : il est nécessaire de la montrer, d’accompagner le public vers elle, de l’intégrer aux collections « matérielles ». En 2009, la DDBL propose donc aux bibliothèques qui le souhaitent de les accompagner pour mener à bien des animations construites avec les ressources numériques, qu’elles soient payantes ou gratuites. Une animation sur l’art sera en particulier réalisée dans toutes les bibliothèques qui proposeront la ressource Louvre.edu à leurs lecteurs.

L’après-midi a commencé par une présentation générale des documents numériques dans les bibliothèques. Vous pouvez retrouver le power-point de cette présentation en cliquant ici. Retrouvez en fin de présentation la liste des sites Internet cités dans le power-point.

Ensuite, Jean-Marc Goossens a fait une présentation de l’extranet de la médiathèque de la Cité de la Musique, qui est consultable en 2009 dans les 5 sites de la DDBL (Tours, Loches, Chinon, Neuvy-le-Roi et Preuilly-sur-Claise). Tous les bibliothécaire du réseau peuvent consulter cet extranet extrêmement riche et nous faire savoir s’ils souhaitent mettre cette ressource à disposition de leurs lecteurs en 2010. Elle pourra faire partie de l’offre numérique de la DDBL l’année prochaine.

Pour finir, une présentation de quelques sites proposant des ressources gratuites a été proposée aux participants.

Vous pouvez télécharger ci-dessous au format PDF une liste et un descriptif des sites qui ont été présentés. Un point a été fait à cette occasion sur l’existence des licences Creative Commons. Ces licenses permettent à tout créateur et / ou utilisateur de distribuer, afficher, copier et diffuser les travaux Creative Commons selon les conditions fixées par l’auteur. Retrouvez sur ce site toutes les explications sur ces « autorisations non exclusives ».

Publié par : Rigpa Chatellerault-Tours | février 16, 2009

Ah la vache !

les médiathèques, la BU de La Roche-sur-Yon et le Scd de l’université de Nantes s’engagent dans une expérimentation de tablettes à encre électronique, de février 2009 à mars 2010.

But :

  • tester l’ergonomie
  • définir des usages
  • découvrir et valider des contenus

Longue sera la route, mais avec la vache de Benjamin, illustre habitant de La Roche-sur-Yon, rien n’est impossible…

Alors rendez-vous sur le site de « la Vache qui lit ! »

Publié par : Rigpa Chatellerault-Tours | février 10, 2009

Quelques images de la journée du 10/02/09

Ils sont venus, ils sont tous là

Ils sont venus, ils sont tous là

Quelques mots avant toute chose !

Quelques mots avant toute chose !

Sourire et concentration !

Sourire et concentration !

et de l'énergie !...

et de l'énergie !...

de la pédagogie.

de la pédagogie.

c'est çà un livrel ?
c’est çà un livrel ?
comme un livre.

comme un livre.

Publié par : Rigpa Chatellerault-Tours | février 2, 2009

Une journée de sensibilisation en Indre-et-Loire – 10/02/09

Le 10 février prochain la Direction déléguée des bibliothèques et de la lecture organise une journée de sensibilisations des bibliothèques qui souhaitent accueillir le document numérique dans leur bibliothèque.
Le Programme :
Matin à la DDBL:
9h30 – 10h: Accueil – Café

10h – 10h15: présentation générale de la politique de la Direction Déléguée des Bibliothèques et de la Lecture (Conseil Général) en matière de documents numériques (Didier  Guilbaud, Directeur délégué)

10h15 – 11h45 : ateliers.

  • Louvre.edu (Sylviane Lachaumeet Christophe Girault)
  • Planet Nemo (Valérie Leccia)
  • Les E-book (Marie-Laurence Berndt)
  • Numilog (Anne-Sophie Pascal).
Chaque atelier dure 1/2 heure.
Chaque stagiaire voit 3 ateliers dont 2 obligatoires: Louvre.edu et Numilog. Les 2 autres (Planet Nemo et e-book) sont au choix: soit l’un, soit l’autre.
11h45 – 12h30: Retour d’expériences des bibliothèques qui ont utilisé des documents numériques en 2008.
12h30-14h: déjeuner libre
Après-midi à la maison des sports de Touraine (rue de l’aviation).
14h-14h30: Café
14h30-15h15: présentation générale des documents numériques en bibliothèque avec exemples de réalisation et d’animations (Anne-Sophie Pascal)
15h15-16h15: présentation de la Cité de la Musique (J.M. Goossens de la Cité de la Musique)
16h15 – 17h: présentation de livres numériques téléchargeables gratuitement (Valérie Leccia et Christophe Girault).
17h. Conclusions et échanges
Publié par : Rigpa Chatellerault-Tours | novembre 18, 2008

Musique : désintermédiation ou médiation alternative

Ce billet a été rédigé par Alban Berson, étudiant de l’École de bibliothéconomie et de sciences de l’information dans le cadre du cours Économie du document.

Extraits :

Pour le billet complet sur le blog de Jean-Michel Salaün

Anarchy in the U.K ! Ces dernières semaines, au Royaume-Uni, une coalition d’artistes s’est élevée contre la toute puissance des majors. Leurs revendications portent sur la renégociation des contrats qui les lient à leurs maisons de disques :  le modèle économique en vigueur dans lequel les majors sont propriétaire des droits sur les enregistrements au prétexte qu’elles assurent les indispensables phases de promotion et de diffusion de la musique n’a plus sa place dans un contexte numérique. En effet, les changements de format et le Web allègent tant les phases de promotion et de diffusion autrefois si lourdes qu’on peut aujourd’hui se poser ces questions : Les artistes peuvent-ils se passer des maisons de disques pour promouvoir et distribuer leur musique ? Et si la réponse est oui, en partie au moins, pourquoi les maisons de disques devenues moins indispensables devraient-elles conserver des prérogatives qu’elles devaient à la prépondérance de leur rôle dans ce domaine ?

Dans la phase de promotion, le Web et les nouveaux formats ont changé la donne en conférant aux œuvres musicales des qualités propres aux documents numériques. La facilité de repérage de l’information permet une plus grande exposition, et la reproductibilité à l’infini et sans coût du document facilite le sampling, c’est-à-dire la mise à disposition gratuite d’échantillons musicaux permettant à l’auditeur d’expérimenter le contenu musical en vue d’un éventuel achat. Ces possibilités inédites rendent les intermédiaires tels que les radios (en grande partie contrôlées par les majors) moins incontournables et conduisent à des exemples d’autopromotion (…)

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Publié par : Rigpa Chatellerault-Tours | octobre 28, 2008

le 7 Octobre 2008

COMPTE-RENDU BDP DU CENTRE – « Les documents numériques »
07/10/2008 – compte rendu également disponible en pdf, cliquer sur cr_reunion_071008

Présents:
BDP 37, BDP 28, BDP 36, BDP 18, BDP 45
BDP 41: excusés.
Jean-Pierre Bouguier, conseiller livre et lecture de la DRAC Centre.

I. Compte-rendu des différents groupes de travail

1) Le livre numérique (BDP 37 et BDP 18)

– Les e-books : Tableau comparatif des différents e-books disponibles sur le marché (Sony Reader, Kindle d’Amazon, Cybook., SFR, Reader Irex Digital 1000). Voir le document de comparaison.

Des questions se posent pour l’ensemble de ces produits:
– les chiffres annoncés sur les exemplaires vendus sont-ils vraiment exacts? Ils sont invérifiables ; de plus, on ne voit pas d’e-books encore dans la rue…
– quelle est exactement la compatibilité des fichiers à télécharger? Peut-on sur tous les outils télécharger les livres libres de droit?
– ces outils sont-ils compatibles avec Linux?

Remarques:
– ces outils constituent une voie de développement importante pour la presse (avec la technologie wi-fi: mise à jour automatique). Mais cette voie ne rencontre pas de succès public pour l’instant.
– un seul de ces outils (le Reader Irex Digital 1000) a un écran tactile ; il est aussi plus cher que les autres…
– l’e-book prend un intérêt encore plus grand s’il intègre de la musique et de la vidéo, mais dans ce cas la consommation de batterie est bien plus importante.

La question la plus cruciale:
Comment ces outils peuvent-ils circuler dans le cadre d’un réseau de BDP?
– ils constituent un produit de sensibilisation important pour les élus.
– certains secteurs sont plus porteurs que d’autres: technique, guide de voyage, presse, mangas, romans ado. On peut imaginer de « charger » un appareil avec un contenu spécifique (ex: manga) et de le faire prêter comme cela dans les bibliothèques : on cible un public spécifique pour chaque appareil. Reste à trouver les éditeurs de mangas électroniques en français…

Projets des BDP:
– BDP 37: acheter 3 e-books et les faire tourner dans ses bibliothèques. But: familiariser les bibliothécaires et les lecteurs du réseau à l’objet. On en reste à l’expérimentation (en attente peut-être de voir si le marché décolle, si des évolutions techniques adviennent assez facilement – généralisation de l’écran tactile).
– BDP 18: en acheter plus pour proposer une véritable offre.

– Les ressources numériques payantes

Power Point de présentation: Numilog, Cyberlibris Famili, Itheque, Bibliomedias.

Pour l’ensemble des fournisseurs: le nombre de livres disponibles dans leur fonds est difficile à estimer (ils annoncent des chiffres, mais comment les vérifier?). Idem pour le nombre d’abonnés, le nombre de bibliothèques partenaires.

Les bibliothèques actuellement utilisatrices ont fait état de leur difficulté à évaluer le nombre de connexions sur ce service.

Remarques:
– il va falloir passer des marchés pour ces fournisseurs. Aux journées de Périgueux de l’ ADBDP, la BDP de la Savoie a proposé de communiquer son CCTP.
– a-t-on le droit de prêter des ressources, par exemple acquises en même temps que l’achat du reader? Pb du droit de prêt transposable (ou non) pour le numérique. Pb également du prix unique du livre.
– nous sommes surpris du nombre de bibliothèques abonnées à Cyberlibris famili alors que le catalogue est d’une qualité au moins discutable. La BDP de l’Hérault est actuellement en négociation avec eux pour avoir davantage de choix sur les livres proposés.

– Les ressources gratuites disponibles en ligne

Il est important de garder le travail de sélection, de choix du bibliothécaire. Ne pas hésiter à donner son avis, en tant que bibliothécaire, il a de la valeur.
Amazon comme modèle de catalogue…à discuter. Quelle pourrait-être la valeur ajoutée d’une bibliothèque par rapport à ce type de catalogue?

Un portail de BDP permet d’offrir à tous les lecteurs du département un service de même qualité qu’une bibliothèque de grande ville.

Citation du portail http://www.lectura.fr/: un exemple de valorisation des fonds: des citations renvoyant aux ouvrages et à leur localisation dans les bibliothèques du réseau.

Voir une première sélection de la BDP 37.

– Un cas particulier des ressources gratuites en ligne: les blogs.

Voir une première sélection de la BDP 37.

Pour l’ensemble de ressources gratuites: l’offre est tellement énorme et tellement diverse, comment s’y retrouver? Se pose le problème du choix du bibliothécaire ; comment connaître et faire connaître ces ressources? Besoin d’énormément de médiation culturelle, de pédagogie, de communication.
Pour la valorisation du gratuit: s’éloigner de l’encyclopédisme, du grand public, pour aller vers des niches. La vision « grand public » s’inspirera obligatoirement du modèle commercial.

– Les encyclopédies

Retour de la BDP 18 sur sa journée de présentation de ressources numériques à son réseau.
Voir ici les documents de cette journée: le programme et une bibliographie.
Remarque générale: les bibliothécaires du réseau se montrent intéressés, mais n’imaginent pas pouvoir relayer ces document dans leurs bibliothèques.

Pour les encyclopédies: présentation d’Universalis (bonne offre, plus accessible que la version papier) et de vikidia (http://fr.vikidia.org/index.php/Accueil), encyclopédie libre pour enfants (8-12 ans).

2) La presse en ligne (BDP 28)

– Présentation du blog de la BDP 28 http://numerique.zeblog.com/: veille générale sur les documents numériques

Précisément sur la presse:
– offres CAREL: trop chères pour les budgets des BDP. Les BDP ne pourraient-elles pas se réunir en consortiums? Elles desservent des bassins de population qui ne sont pas comparables avec les autres bibliothèques…
– offre Relay: plutôt grand public, pas encore adoptée par une bibliothèque. Inconvénient: oblige à télécharger un lecteur.
– offre Monkiosque.fr: grand public aussi, pas de lecteur à télécharger, certaines pages sont gratuites.
– du côté de la presse en ligne gratuite: site http://www.giga-presse.com/, répertorie et classe ces revues en ligne par thématique.  Le portail Persee (http://www.persee.fr/web/guest/home) donne accès à des revues en Sciences Humaines numérisées par l’Université Lyon 2.

3) La musique (BDP 36 et BDP 45)

– Dogmazic. Propose 26700 morceaux de musique libre. Borne: 5000€ + 1000€ de maintenance.
– Naxos. 85000 entrées. Pas de téléchargement possible.
– Portail de la Cité de la Musique (500€/poste, 900€ pour 2 postes).
– Clasical Music Library. Pour 3 accès: 350€ environ. Pas de téléchargement possible. Interface anglophone.
– Grove Music On Line. Uniquement extraits musicaux (c’est une encyclopédie anglophone). 1 accès: 1317€.

Ressources écartées: jamendo (pb de qualité), bnflower (pb de licence).

La BDP du Loiret est dans un contexte de révision globale du plan de développement. Ils prêtent de plus en plus de CD (57 bibliothèques desservies en CD).
Externalisation de l’équipement: dégager du temps pour la veille documentaire.
2009: mener une action de sensibilisation: liste de sites Internet à valoriser auprès du réseau, puis, dans un 2ème temps, ressources payantes, dont Dogmazic et la Médiathèque de la Cité de la Musique.

Conclusion:

Un projet collaboratif pour l’année prochaine entre les BDP prêtes à réaliser des acquisitions? Voire avec d’autres bibliothèques en France…Les éditeurs de ressources payantes seraient en effet prêts à accepter de négocier avec des BDP compte tenu des particularités de ces établissements.

Incitation forte à participer sur le blog.

Prochaine réunion (avec tous les personnels): jeudi 22/01. Présentation des ressources et des projets.

Publié par : Rigpa Chatellerault-Tours | octobre 2, 2008

La Bibliothèque du handicap

Du nouveau à la BnH. Ce message paru dans biblio.fr ne vous aura pas échappé:

A partir du mois d’octobre 2008 la Bibliothèque numérique pour le Handicap (BnH) mettra à la disposition des personnes à mobilité réduite de Boulogne-Billancourt douze tablettes de lecture Sony Reader.
La possibilité d¹une pluralité de lieux de lecture figure en effet parmi les attentes prioritaires des lecteurs relevées dans l¹étude que Viviane Folcher, maître de conférence à Paris 8, sous le titre  « Accessibilité, utilisabilité, usages de la Bibliothèque numérique » , a réalisé pour le compte de la Ville de Boulogne en 2007.
Contrairement au prêt de tablettes Cybook en 2002, le prêt s¹effectuera dans le cadre du portage à domicile que les bibliothèques municipales ont mis en place et bénéficiera de l¹appui des structures municipales ou
associatives à vocation sociale.

Alain PATEZ, Editions numériques, Bibliothèque espace Landowski
28, avenue André-Morizet – 92100 Boulogne-Billancourt (Tél. : 01 55 18 46 34)

Publié par : Rigpa Chatellerault-Tours | septembre 3, 2008

Synthèse très utile de l’ IABD

Sous le titre

Compte rendu de l’atelier réuni le 30 juin 2008 sur le thème
Les services de bibliothèque et de documentation, acteurs de la chaîne numérique

par l’IABD dans le cadre des Assises du Numérique
organisées par Eric Besson, Secrétaire d’État chargé de la Prospective, de l’évaluation des politiques publiques et du Développement de l’économie numérique
l’IABD propose un document synthétique et très complet sur tous les documents numériques. Allez y, tout y est http://www.iabd.fr/spip.php?article54
Publié par : Rigpa Chatellerault-Tours | août 25, 2008

Journée d’étude : Les services en ligne…

Orléans, Journée d’étude: les services en ligne, une nécessité, un avenir pour les Bibliothèques ?

Auditorium Marcel Reggui, Médiathèque d’Orléans, Place Gambetta, 45000 Orléans – 02 38 65 45 45 entrée à partir de 9h30

Les différents thèmes abordés:

– le catalogue de la Bibliothèque à l’ère du web 2.O

– les sites web de bibliothèques municipales: quels services en ligne ?

– l’environnement numérique de travail.

– les services du portail de la cité de la musique.

– Gallica 2

Bulletin d’inscription et présentation complète de la journée cliquez 2008-journe-pro-25-097

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